- Éditeur
- inconnu
- Auteur(s)
- inconnu
- Année de parution
- non daté
- Nombre de pages
- 51
Après avoir connu la dent de ces mammifères, la vigne première espèce à être taillée, va connaître la loi de l'homme et de sa serpe. Les Egyptiens pratiquèrent eux aussi la taille très tôt, leur savoir-faire ayant été ensuite développé par les Grecs puis les Romains.
Des centaines voir des milliers d'ouvrages ont été consacré à la taille dès l'époque romaine jusqu'à nos jours. Aujourd'hui, une nouvelle manière de tailler prend peu à peu sa place. Une taille plus respectueuse de l'arbre. Il va sans dire que les arbres formés (espalier, palmette,…) ne vont pas dans ce sens et que l'on va privilégier le port libre et naturel de l'arbre.
Toutefois, la taille, cette opération délicate, et nécessaire, peut légitimement s'accompagner de quelques appréhensions.
Dans ce grand réseau de branches, de rameaux et de brindilles, que faut-il couper ? Et que doit-on conserver ? Quels sont les raisonnements qui justifient tel ou tel coup de sécateur ?
Les termes et les schémas trouvés dans les livres de taille classique restent compliqués, voir obscurs, et ne semblent en aucun cas applicables à notre arbre, qu'il soit d'ornement ou fruitier.
